L e Conseil Municipal 19/04/13

Compte rendu de l'intérieur

Si vous avez lu le compte-rendu des deux journaux locaux, vous êtes en droit de vous demander s'ils ont bien assisté à la même réunion du conseil municipal.

Certes le conseil m'a bien retiré le titre d'adjoint, mais les fonctions l'avaient été par la seule décision du maire fin janvier 2013. La question posée au conseil sur le maintien au non du titre d'adjoint découle directement du code des collectivités territoriales. Elle avait été posée lors du conseil du 1er février 2013, mais retirée par le maire, compte-tenu de la position des conseillers présents au cours de la préparatoire et qui me maintenait comme adjoint. Le maire avait alors indiqué qu'il retirerait la question pour la reposer plus-tard, après avoir vu un par un, les gens qui exprimaient cette position, ce qu'il fit lors de la séance du 19 avril 2013. Si les journalistes présents avaient été attentifs, ils se seraient apperçus que les bulletins de vote étaient remplis bien avant que je puisse prendre la parole.

J'ai pris la parole pour marquer ma position même si tous les conseillers présents connaissaient parfaitement mon histoire avec les menaces, injures, insultes et accusations gratuites que j'ai dues subir de la part du maire (tantôt publiquement, tantôt en apparté) qui voulait absolument se débarasser de moi. Car je représente un obstacle pour la liste qu'il se propose de conduire en sous mains pour les élections de 2014.

Ma prise de parole et le récit de mon histoire de ces derniers mois avaient pour but de bien faire ressortir la face que le maire tente de cacher à ses électeurs. Si vous avez lu l'histoire du docteur Jekyll et Mr Hyde............

Un exemple : pour les derniers feux de la St jean, sur l'esplanade de la Madonne, le Comité des fêtes (une douzaine de personnes) avaient passé contrat avec une troupe pour un spectacle de cabaret. Ce spectacle fut annulé par le maire qui m'a accusé (c'est moi qui animait le CF) de vouloir faire danser des femmes nues devant la Madonne, (sans prendre le moindre renseignement auprès du vendeur du spectacle)m'accusant ainsi de perversité. Je n'ai pu que plusieurs jours après, faire entendre ma voix et récuperer une partie du spectacle. Mais les accusations étaient toujours là et le mal était fait.